Une loi libérale permet à Bernardo de sortir d’une prison à sécurité maximale

Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, Raquel Dancho, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Sécurité publique, l’honorable Rob Moore, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Justice, Pierre Paul-Hus, Lieutenant politique pour le Québec, et Tony Baldinelli, député de Niagara Falls et parrain du projet de loi C-342, Loi concernant les délinquants à sécurité maximale, ont fait la déclaration suivante en réponse à la décision des libéraux de confirmer le transfert de Paul Bernardo dans une prison de sécurité moyenne :

« Après 8 ans de politiques laxistes de Trudeau en matière de criminalité, il est clair que les droits des victimes passent en dernier, après ceux des délinquants dangereux et violents. La décision prise aujourd’hui de ne pas annuler le transfert choquant du violeur et tueur en série notoire de Scarborough, Paul Bernardo, d’une prison de sécurité maximale vers des conditions plus confortables dans une prison de sécurité moyenne, est le résultat direct des politiques désastreuses des libéraux. Cela n’aurait jamais dû se produire et cela ne devrait pas durer. Bernardo mérite de rester dans une prison de sécurité maximale pour le reste de sa vie.

« Cette situation horrible n’est rendue possible que par les changements apportés au projet de loi libéral C-83, qui exigeait que la sélection des prisons fournisse aux détenus l’environnement “le moins restrictif” possible. La commissaire elle-même a confirmé que le transfert était conforme à la politique mise en place par ce gouvernement. Pour empêcher que de tels transferts aient lieu ou que cette situation se reproduise, les conservateurs ont présenté le projet de loi émanant d’un député C-342 du député Tony Baldinelli. Au lieu de se tenir aux côtés des victimes et de faire ce qu’il faut pour réparer leur erreur, les libéraux ont voté contre l’adoption de ce projet de loi à de multiples reprises.

« Cette épreuve a forcé les familles et les amis des victimes à revivre le traumatisme de la perte de leurs proches. Les libéraux de Trudeau continuent de refuser de donner des instructions au SCC ou de faire preuve de compassion à l’égard des familles. Le ministre Mendicino a menti aux Canadiens en disant qu’il ne pouvait rien faire contre ce transfert, et il peut encore l’empêcher. Ils avaient le pouvoir à l’époque et ils ont le pouvoir aujourd’hui d’arranger les choses.

« Cette incompétence dans le dossier de la sécurité publique fédérale ne peut plus durer et le ministre Mendicino doit démissionner.

« Nous demandons au ministre d’émettre une directive aujourd’hui et d’annuler le transfert de Paul Bernardo. Les conservateurs continueront à défendre les droits des victimes. Un gouvernement conservateur ramènera le gros bon sens avec des rues sécuritaires et les droits des victimes en renversant la législation défectueuse des libéraux et en s’assurant que les ignobles meurtriers de masse comme Paul Bernardo restent là où ils doivent être – dans une prison à sécurité maximale. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

En savoir plus
Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

En savoir plus