Les audiences du Comité sur l’ingérence de Pékin doivent reprendre

OTTAWA (Ontario) — Le ministre du Cabinet fantôme responsable de la Réforme démocratique, Michael Cooper, a fait la déclaration suivante sur la reprise des audiences du Comité sur l’ingérence étrangère de Pékin :

Hier, Affaires mondiales Canada a révélé que le député conservateur Michael Chong a été la cible d’une « opération d’information » de Pékin, entre le 4 et le 13 mai 2023, qui a « amplifié un grand nombre de récits faux ou trompeurs ».

Le Comité de la procédure et des affaires parlementaires est actuellement saisi d’une enquête sur les menaces et intimidations de Pékin à l’encontre de la famille du député Michael Chong et sur l’ingérence de Pékin dans les élections de 2019 et de 2021. Les conservateurs ont tenté de rappeler le Comité pour qu’il poursuive ses travaux. Les membres néo-démocrates et bloquistes du Comité ont refusé de se joindre aux conservateurs et de rappeler le Comité afin d’assurer la transparence des campagnes d’ingérence menées par Pékin au Canada.

En agissant de la sorte, le Bloc et le NPD, ainsi que le gouvernement libéral, encouragent encore plus Pékin à s’immiscer dans les institutions démocratiques du Canada, car le régime communiste ne craint pas les répercussions et considère le Canada comme une « cible hautement prioritaire », selon le SCRS.

Ces nouvelles révélations démontrent une fois de plus que le gouvernement libéral n’a pas pris de mesures significatives contre l’ingérence de Pékin dans nos élections et notre démocratie.

Les conservateurs de gros bon sens continueront à dénoncer l’ingérence de Pékin dans nos élections et notre démocratie, et il est essentiel que l’opposition néo-démocrate et bloquiste lutte pour la transparence, au lieu de couvrir le gouvernement libéral.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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