16 millions de dollars de l’argent des contribuables canadiens à Pékin pour garantir le poste de Guilbeault. 

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Le voyage déconcertant du ministre Guilbeault à Pékin

Ottawa (Ontario) — Dans une démarche choquante, le ministre de l’Environnement de Justin Trudeau se rend à Pékin, où il siège officiellement en tant que vice-président directeur d’un organisme créé et contrôlé par le Parti communiste. Il est clair que le gouvernement de Justin Trudeau n’a tiré aucune leçon de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII), puisqu’il a doublé la mise en offrant plus de 16 millions de dollars de l’argent des contribuables canadiens à Pékin pour garantir le poste de Guilbeault. 

Le Conseil chinois pour la coopération internationale en matière d’environnement et de développement (CCICED) sert les intérêts de Pékin, pas ceux du Canada.

Plus inquiétant encore, Ding Xuexiang, le second de Xi Jinping et son plus fidèle collaborateur, préside le CCICED tout en siégeant au « Bureau politique du Comité central » du Parti communiste.

Pour Ding et le CCICED, les intérêts du Parti communiste de Pékin passent avant tout. Le Canada ne devrait pas accorder sa crédibilité à cette organisation.

Nous reconnaissons la nécessité de rencontrer des représentants de grands pays puissants, même si nous sommes en profond désaccord avec ces pays sur des enjeux tels que les droits de la personne, mais les dirigeants du Canada ne devraient pas occuper de positions officielles au sein de groupes dirigés par des gouvernements étrangers. Le ministre Guilbeault devrait immédiatement démissionner de son poste au sein du CCICED de Pékin et mettre fin à tout financement de cette organisation dirigée par des communistes.

Si le ministre Guilbeault insiste pour se rendre à Pékin, il devrait dénoncer fermement et vocalement l’ingérence de Pékin dans la démocratie canadienne.

Le gouvernement de Justin Trudeau fait régulièrement la leçon aux Canadiens, aux gouvernements provinciaux et aux alliés démocratiques sur l’impact climatique de leur vie quotidienne, qu’il s’agisse de chauffer leur maison, de se rendre au travail en voiture ou même d’utiliser des sacs en plastique. Dans ce contexte, nous nous attendons à ce que le ministre Guilbeault s’exprime sur l’expansion apparemment sans limites de la production d’électricité à partir de charbon par Pékin. Au lieu de soutenir des organisations dirigées par le parti communiste de Pékin, le ministre Guilbeault devrait veiller à ce que le GNL propre du Canada puisse aider les pays tributaires du charbon à réduire considérablement leurs émissions, y compris la Chine, le plus grand émetteur au monde.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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