Les conservateurs obligent Trudeau à ouvrir une enquête publique sur l’ingérence étrangère

Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a fait la déclaration suivante à la suite de l’annonce d’une enquête publique sur l’ingérence de Pékin dans la démocratie canadienne :

« La “dictature de base” de Pékin — pour laquelle Justin Trudeau a exprimé son admiration — tente de saper la démocratie canadienne depuis des années. Alors que de plus en plus d’informations sur ce sujet étaient révélées, les libéraux ont tenté de cacher et de dissimuler la vérité sur l’ingérence de Pékin. Mais aujourd’hui, notre demande d’enquête publique sur cette ingérence a enfin été satisfaite.

« Rien de tout cela ne serait arrivé si les conservateurs n’avaient pas fait pression sur le gouvernement et n’avaient pas combattu la tentative de dissimulation des libéraux à chaque étape du processus. Les conservateurs demandent une enquête publique sur l’ingérence de Pékin depuis le 1er mars 2023 – il y a 190 jours. Le 23 mars 2023, les conservateurs ont voté une motion à la Chambre des communes demandant une enquête indépendante et publique. Beaucoup de dommages à la confiance des Canadiens dans leurs institutions auraient pu être évités si seulement Justin Trudeau avait écouté le Parlement.

« Justin Trudeau est au courant depuis des années de ces risques pour la démocratie. Selon ses propres fonctionnaires, depuis 2018, il a été officiellement informé au moins six fois de l’ingérence étrangère, ainsi que de nombreuses conversations informelles, et pourtant il a refusé de prendre des mesures significatives. En fait, Trudeau n’a toujours pas tenu sa promesse de mettre en place un registre des influences étrangères – une solution de gros bon sens que les conservateurs ont réclamée à maintes reprises.

« Les conservateurs continueront à défendre la démocratie canadienne tout en tenant les libéraux de Trudeau responsables de leur négligence. Nous avons dénoncé le dernier plan des libéraux qui consistait à balayer ce problème sous le tapis. Et bien que nous acceptions le mandat et le commissaire pour cette enquête, nous n’hésiterons pas à les rappeler à l’ordre si ce processus n’apporte pas de vraies réponses aux Canadiens.

« La protection de notre démocratie doit être notre priorité, et les conservateurs défendront toujours le Canada. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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