Les conservateurs bâtissent des logements, les libéraux créent de la bureaucratie  

Ottawa (Ontario) – Aujourd’hui, l’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a présenté une partie de son plan visant à bâtir des logements abordables, la Loi pour bâtir des logements, pas de la bureaucratie.

Le coût du logement a doublé après huit ans sous Justin Trudeau. Neuf jeunes sur dix disent qu’ils ne pourront jamais se payer une maison. Toronto est devenue la pire bulle immobilière du monde et Vancouver est le troisième marché immobilier le plus cher de la planète. En raison de l’explosion du coût du logement, le Canada a la dette hypothécaire la plus risquée des 40 pays de l’OCDE. 

Quelle est la solution de Justin Trudeau à cette crise historique du logement ? Encore plus de séances de photos. Trudeau a plagié le message des conservateurs, mais pas leur politique. En fait, la construction de logements est en baisse au mois d’août par rapport à l’année précédente, grâce à l’inaction de Trudeau. Voici comment le plan des conservateurs se compare à celui de Trudeau : 

  • Les conservateurs lieront l’achèvement des logements au financement de l’infrastructure afin que les travaux puissent commencer immédiatement, tout en accordant une prime importante aux municipalités qui dépassent les objectifs de construction de logements. Le Fonds pour accélérer la construction de logements de Justin Trudeau a coûté 4 milliards de dollars aux Canadiens, mais n’a permis de construire aucun logement en un an et demi.  
  • Le plan conservateur retiendra les fonds destinés aux transports en commun et aux infrastructures des villes qui ne construisent pas suffisamment de logements à haute densité autour des stations de transport en commun. Les libéraux continueront de récompenser les barrières bureaucratiques des grandes villes avec l’argent des contribuables, qu’ils construisent ou non des logements.  
  • Le plan conservateur s’attaquera au syndrome du « pas dans ma cour » en pénalisant les barrières bureaucratiques qui font obstacle à la construction. Les libéraux continueront de permettre aux personnes qui s’intéressent à l’environnement de refuser aux Canadiens des logements qu’ils ont les moyens de s’offrir.  
  • Le plan conservateur mettra en vente 15 % des 37 000 bâtiments du gouvernement fédéral et tous les terrains acceptables afin que nous puissions les transformer en logements abordables dans un délai d’un an et demi après l’adoption de cette Loi. Les libéraux laisseront les terrains et les bâtiments fédéraux rester inutiles et vacants.  
  • Le plan conservateur supprimera la TPS pour tout nouveau logement dont le prix de location est inférieur à la valeur du marché, ce qui encouragera la construction de logements abordables. Le remboursement de la TPS par les libéraux, en revanche, permettra aux promoteurs de construire plus facilement des logements plus chers que seuls les ultra-riches pourront s’offrir. 
  • Le plan conservateur réduira les primes et les salaires et, si nécessaire, licenciera les responsables de la SCHL s’ils ne parviennent pas à accélérer l’approbation des demandes de programmes de logement à une moyenne de 60 jours. Les libéraux continueront à verser d’énormes primes à ces responsables, quel que soit le nombre de logements construits.  

Il existait autrefois une entente au Canada. Vous travaillez dur, vous obtenez une maison. Justin Trudeau a rompu cette entente, mais les conservateurs vont la rétablir. C’est pourquoi seuls les conservateurs ont un plan pour bâtir des logements, pas de la bureaucratie.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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