Une loi conservatrice de gros bon sens ramènera le gros bon sens avec des frais bancaires moins élevés pour les Canadiens

Ottawa (Ontario) – Aujourd’hui, Ryan Williams, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Compétition et du Commerce interprovincial, a déposé son projet de loi émanant d’un député, C-365, la Loi sur les services bancaires dirigés par les consommateurs.     

« Après huit ans sous Justin Trudeau, les Canadiens paient des frais bancaires parmi les plus élevés au monde. Et au lieu de se battre pour que vous ayez plus d’argent dans vos poches, le gouvernement libéral double la mise et protège les grandes banques en retardant l’adoption d’une loi qui permettrait aux Canadiens de réaliser de véritables économies. » a déclaré le député Williams.  

Au Royaume-Uni, où les services bancaires dirigés par les consommateurs sont mis en œuvre, les 9 grandes banques soumises aux exigences du système bancaire ouvert facturent 0 dollar pour leurs comptes de chèques, sans dépôt minimum. Au Canada, les cinq grandes banques facturent chacune plus de 10 dollars pour les comptes chèques. Le député Williams a ajouté que « Les conservateurs veulent redonner aux Canadiens le contrôle de leur liberté financière. À l’heure actuelle, les banques possèdent et contrôlent les données financières des Canadiens. Notre plan de gros bon sens obligerait les banques à permettre aux Canadiens de contrôler leurs propres données financières afin que les banques concurrentes et les entreprises de technologie financière puissent se disputer leurs clients. Lorsque cette mesure a été mise en œuvre au Royaume-Uni, les rapports montrent que le client moyen pouvait gagner près de 400 dollars par an. »  

Au Canada, six banques contrôlent 93 % de tous les actifs, et la situation ne fait qu’empirer. La concurrence a diminué au cours des huit dernières années, tandis que les profits et les marges des banques ont augmenté.  

« Ces banques ne sont pas incitées à fournir de meilleurs services et à pratiquer des prix plus bas, parce qu’il n’y a pas d’autre endroit où aller. Ma loi de gros bon sens changera cela et donnera aux Canadiens le contrôle de leur liberté financière. » a déclaré le député Williams. 

Le responsable du système bancaire ouvert au sein du gouvernement a déclaré que le Canada risquait d’être le dernier pays du G7 à ne pas avoir de services bancaires dirigés par les consommateurs. Le gouvernement libéral a refusé de s’opposer aux grandes banques et d’agir pour les Canadiens, c’est pourquoi les conservateurs de gros bon sens vont s’en charger. 

Pierre Poilievre a ajouté que « Le projet de loi C-365 obligerait Justin Trudeau à mettre en œuvre le plan qui a maintenant 11 mois de retard, après s’être croisé les bras pendant plus de 2 ans. Ce gouvernement traîne les pieds. Le député conservateur de gros bon sens Ryan Williams ramènera le gros bon sens avec des économies aux guichets automatiques pour tous les Canadiens, et pas seulement pour les riches amis des libéraux. » 

« Ce projet de loi donnera aux Canadiens la liberté d’accéder à de meilleures offres, à des soutiens financiers à faible coût, et de choisir plus facilement leur banque quand ils le souhaitent. Les conservateurs redonneront aux Canadiens le contrôle de leurs opérations bancaires grâce au projet de loi C-365, qui vise à créer des économies pour les Canadiens 365 jours par an. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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