Justin Trudeau doit s’expliquer sur les accords relatifs aux usines de batteries pour véhicules électriques

Ottawa (Ontario) – Rick Perkins, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, a fait la déclaration suivante concernant le nouveau rapport du directeur parlementaire du budget sur les usines de batteries pour véhicules électriques et les allégations de recours à des travailleurs étrangers temporaires plutôt qu’à des Canadiens pour travailler dans ces usines :

« Nous avons appris aujourd’hui que la subvention de plusieurs milliards de dollars accordée à Stellantis pourrait financer jusqu’à 1 600 emplois qui ne seront pas attribués à des Canadiens, mais à des travailleurs étrangers, malgré les promesses du premier ministre de créer des emplois pour les Canadiens. Cette situation est inacceptable.

« Justin Trudeau a également caché les détails des subventions massives aux entreprises qu’il a accordées aux usines de batteries pour véhicules électriques pendant des mois, mais le directeur parlementaire du budget nous a fait savoir aujourd’hui que les coûts sont beaucoup plus élevés que ce que le premier ministre a laissé entendre.

« Selon le DPB, les subventions accordées par le Canada aux trois fabricants de batteries pourraient s’élever à 43,6 milliards de dollars, soit près de 6 milliards de dollars de plus que ce que le gouvernement a dit aux Canadiens. Ces dépassements massifs interviennent avant même que ces grands projets ne soient lancés.

« Le premier ministre doit faire deux choses. Premièrement, il doit être honnête et rendre publics les contrats qu’il a signés avec Stellantis, Volkswagen et Northvolt, afin que les contribuables puissent savoir combien d’argent ils doivent débourser et quelles dispositions ont été prises pour garantir de bons emplois à long terme aux Canadiens. Deuxièmement, il doit garantir que l’argent des contribuables canadiens ne financera pas des emplois à moins qu’ils ne soient destinés à des travailleurs canadiens. « Les conservateurs de gros bon sens veilleront à ce que l’argent des contribuables canadiens soit utilisé à bon escient et à ce que les nouveaux emplois créés au Canada soient exclusivement destinés aux Canadiens. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

En savoir plus
Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

En savoir plus