Freeland déclare la victoire sur l’inflation… pour les personnes qui n’ont pas besoin d’une maison pour dormir

Aujourd’hui, dans une tentative désespérée de dépeindre la situation économique comme autre chose que le désastre créé par les libéraux, la vice-première ministre Chrystia Freeland a déclaré : « En décembre, l’inflation a baissé à 3,4 % et ce chiffre est de 2,5 % si l’on exclut les coûts hypothécaires ».

En réalité, l’inflation a augmenté en décembre atteignant 3,4 %, ce qui est bien supérieur au taux cible de 2 % et les Canadiens ont toujours besoin de se loger. En excluant les coûts hypothécaires de l’inflation, on nie la réalité à laquelle sont confrontés les Canadiens. Conséquence directe des dépenses et des taxes inflationnistes de Trudeau et Freeland, le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, envisage de nouvelles hausses des taux d’intérêt dans le futur.

Avant que la ministre Freeland ne présente un nouveau budget rempli de dépenses inflationnistes et avant qu’elle n’augmente ses taxes inflationnistes sur le carbone et l’alcool, les libéraux tentent de convaincre les Canadiens que tout va bien. Mais les Canadiens ne vont pas bien. Au cours des deux dernières semaines, des rapports répétés ont montré que les Canadiens paient des loyers plus élevés que jamais, que l’inflation à l’épicerie se maintient à près de 5 %, et que 40 % des Néo-Écossais ont du mal à payer leur facture d’électricité.

Mais la ministre Freeland ne veut pas que vous vous inquiétiez. Selon elle, l’inflation n’est pas un problème ! À moins que vous ne deviez payer votre logement, votre nourriture ou d’autres produits de première nécessité.

Au lieu de manipuler les faits pour minimiser la douleur des Canadiens, les libéraux pourraient prendre des mesures concrètes et tangibles pour réduire l’inflation. Ils pourraient commencer par soutenir une motion conservatrice de gros bon sens visant à annuler la hausse de la taxe carbone prévue pour le 1er avril, puis s’opposer aux amendements du Sénat au projet de loi C-234 visant à abolir la taxe pour les agriculteurs.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

En savoir plus
Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

En savoir plus