L’incapacité de Trudeau à classer le CGRI parmi les entités terroristes permet au blanchiment d’argent de passer inaperçu

Ottawa (Ontario) – Jasraj Singh Hallan, député de Calgary Forest Lawn, Adam Chambers, député de Simcoe-Nord, Phillip Lawrence, député de Northumberland-Peterborough-Sud et Marty Morantz, député de Charleswood-St. James-Assiniboia-Headingley, ont fait la déclaration suivante sur le blanchiment d’argent par le CGRI au Canada qui passe inaperçu :

« Le refus du gouvernement Trudeau de classer le CGRI comme entité terroriste signifie que le blanchiment d’argent illégal du régime au Canada n’est pas détecté, selon le témoignage des fonctionnaires du ministère des Finances du Canada hier. Les fonctionnaires ont également admis que le gouvernement Trudeau ne sait pas si le CGRI collecte des fonds pour des activités terroristes par l’intermédiaire du secteur caritatif canadien.

« Les fonctionnaires du ministère des Finances du Canada ont déclaré que plus de 100 milliards de dollars sont blanchis illégalement au Canada chaque année. Un rapport de premier plan reconnaît que le Canada est devenu connu pour son « snow-washing », étant donné l’importance du blanchiment d’argent. La lutte contre le blanchiment d’argent est une responsabilité fédérale et le premier ministre a permis à des organisations criminelles et maintenant à l’organisation terroriste CGRI de profiter des politiques libérales de lutte contre la criminalité. 

« Le CGRI a assassiné 55 citoyens canadiens et 30 résidents permanents lorsqu’il a abattu le vol PS752 il y a quatre ans. De hauts responsables du CGRI ont pu entrer au Canada et des agents secrets du CGRI y opèrent sans conséquence. Nous apprenons aujourd’hui que le refus de Trudeau d’inscrire le CGRI sur la liste des entités terroristes signifie que cette organisation terroriste contourne les lois sur le blanchiment d’argent et collecte des fonds sur le sol canadien pour financer ses campagnes de terreur dans le monde entier.

« Le CGRI a déjà été désigné comme une organisation terroriste par les États-Unis, mais le gouvernement Trudeau refuse de faire de même. Il y a quelques mois à peine, l’activiste irano-américaine Masih Alinejad a déclaré que Trudeau n’offrait rien d’autre que des « mots vides » et des « clichés » lorsqu’il parlait du CGRI. Il est temps de stopper les crimes et de réprimer les activités criminelles du CGRI au Canada.

« Les conservateurs de gros bon sens ont proposé de vraies solutions, plutôt que les paroles creuses de Trudeau, pour atténuer le blanchiment d’argent au Canada. Le projet de loi C-289 des conservateurs proposait de modifier le Code criminel afin de faciliter l’arrestation et la condamnation des criminels qui blanchissent de l’argent au Canada, y compris, potentiellement, les agents du CGRI au Canada. La coalition Libéral-NPD a voté contre ce projet de loi. L’incapacité de ce gouvernement à prendre au sérieux le terrorisme et le blanchiment d’argent permet à des entités meurtrières comme le CGRI d’opérer librement au Canada. Trudeau doit enfin inscrire le CGRI sur la liste des organisations terroristes. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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