Le ministre du Logement de Justin Trudeau admet que pas une seule maison n’a été construite malgré les innombrables séances de photos

Ottawa (Ontario) – Après huit années sous Justin Trudeau, les Canadiens vivent un véritable enfer en matière de logement. En 2022, le Canada a construit moins de logements qu’en 1972, alors que la population était deux fois moins nombreuse qu’aujourd’hui. Conséquence directe de l’incapacité des libéraux à construire suffisamment de maisons, le loyer moyen demandé pour l’ensemble des biens résidentiels a atteint le niveau record de 2 178 $ en décembre, tandis que le coût d’une mise de fonds a doublé depuis que Trudeau est devenu premier ministre.

La Société canadienne d’hypothèques et de logement de Trudeau a déclaré en septembre que le Canada avait besoin de 3,5 millions de nouveaux logements d’ici la fin de la décennie. Malgré cela, les mises en chantier ont continué à diminuer sous ce gouvernement libéral. La CIBC a déclaré que le nombre de logements nécessaires était en fait de 5 millions. Quel est le plan de Trudeau pour résoudre la crise du logement ? Il a nommé son ancien ministre de l’Immigration, Sean Fraser, au poste de ministre du Logement, alors qu’il avait déjà ignoré les avertissements de son propre personnel indiquant que ses politiques imprudentes contribuaient à la pénurie de logements.

Aujourd’hui, au Comité des finances, les conservateurs de gros bon sens ont interrogé le ministre Fraser sur son « Fonds pour accélérer la construction de logements », et il a admis que pas un seul logement n’avait été construit grâce à ce fonds, bien qu’il ait coûté 3,15 milliards de dollars aux contribuables canadiens. Il a même admis que sa politique phare en matière de logement « ne mène pas réellement à la construction de maisons spécifiques ». Le gouvernement Trudeau ne comprend pas que les Canadiens ne peuvent pas vivre avec ses séances de photos.

En outre, bien qu’il ait fait campagne sur l’« accélérateur de la construction de logement » lors des élections fédérales de 2021, le gouvernement libéral n’a pas commencé à conclure des accords avec les municipalités pour faire construire des logements avant la fin de l’année 2023. Aujourd’hui, les villes canadiennes sont parmi les plus chères du monde. Justin Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût.

Les Canadiens méritent un plan de gros bon sens pour construire rapidement des logements. C’est pourquoi Pierre Poilievre a présenté sa Loi pour bâtir des logements, pas de la bureaucratie, afin d’augmenter les incitations pour les municipalités qui construisent des logements tout en punissant les municipalités qui continuent à faire obstacle au développement avec des politiques « pas dans ma cour ».

Seul un gouvernement de Pierre Poilievre fera en sorte que les Canadiens puissent se procurer des maisons qu’ils peuvent s’offrir.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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