Les conservateurs exigent que les principaux consultants d’ArriveCan de Trudeau témoignent pendant l’enquête d’un comité

Ottawa (Ontario) — Andrew Scheer, leader à la chambre conservateur, a fait la déclaration suivante sur le fait que GC Strategies n’a pas comparu devant un comité de la Chambre des communes au sujet de son rôle dans le scandale ArriveCan :

« Aujourd’hui, les conservateurs du Comité des opérations gouvernementales présenteront une motion visant à obliger GC Strategies à témoigner sur son implication dans l’application ArriveCan de Trudeau, d’une valeur de 60 millions de dollars. À l’instar du pouvoir d’assignation dont disposent les tribunaux, les comités de la Chambre des communes ont la possibilité de prendre des mesures pour s’assurer que les personnes ne peuvent pas refuser de témoigner. Si GC Strategies défie cet ordre parlementaire, le sergent d’armes aura pour instruction d’arrêter les propriétaires de GC Strategies et de les traîner devant le Comité. Cette mesure drastique est rarement utilisée, mais elle est nécessaire compte tenu de l’abus de l’argent des contribuables et de la corruption dont témoigne l’arnaque ArriveCan de Trudeau. 

« GC Strategies a déjà défié une assignation légale le 5 décembre 2023. Le Comité a émis une nouvelle citation à comparaître avant le 9 février 2024, et GC Strategies a de nouveau refusé de témoigner devant le Comité. Comme GC Strategies n’a pas tenu compte des multiples convocations juridiques émises par le Comité, elle doit maintenant faire face à la pleine force des pouvoirs constitutionnels et des autorités du Parlement.

« GC Strategies est une société informatique composée de deux personnes qui n’effectue aucun travail informatique réel et qui opère à partir d’une maison à Ottawa. La vérificatrice générale a découvert que GC Strategies avait reçu près de 20 millions de dollars grâce à l’application ArriveCan, en tant qu’intermédiaire informatique. Nous savons que GC Strategies a reçu près de 60 millions de dollars en contrats du gouvernement Trudeau depuis 2017 et potentiellement beaucoup plus. Le propre site web du gouvernement montre des centaines de contrats répertoriés.

« La GRC enquête sur les liens contractuels avec ArriveCan, et la vérificatrice générale a rencontré la police au sujet des conclusions de son audit d’ArriveCan. Le rapport ArriveCan de la vérificatrice générale fait état d’un effort concerté pour dissimuler les traces écrites et les dossiers. De hauts fonctionnaires ont été accusés d’avoir détruit des documents ArriveCan. L’organisme canadien de surveillance des marchés publics a constaté que 76 % des sous-traitants d’ArriveCan n’avaient effectué aucun travail sur l’application. Cette affaire pue la corruption que les Canadiens n’ont que trop l’habitude de voir de la part de ce gouvernement libéral et justifie clairement une enquête approfondie de la GRC.

« La motion d’aujourd’hui est une étape cruciale pour amener GC Strategies à témoigner dans le cadre de l’enquête du Comité ArriveCan. Cette société a été créée en 2015 et a commencé à recevoir des contrats gouvernementaux quelques semaines seulement après l’élection de Trudeau. Les contribuables méritent des réponses sur les raisons pour lesquelles une application censée coûter 80 000 dollars a fini par gaspiller 60 millions de dollars. GC Strategies peut choisir de coopérer et de témoigner de son plein gré devant le Comité, sous peine d’y être emmené de force. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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