Les conservateurs demandent au gouvernement Trudeau de s’opposer au projet de loi de sécurité nationale à Hong Kong

Ottawa (Ontario) – L’honorable Michael Chong, Ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Affaires étrangères, a fait la déclaration suivante en réponse à la proposition du projet de loi au titre de l’article 23 à Hong Kong, qui fait l’objet d’une consultation publique jusqu’au 28 février :

« Les conservateurs sont profondément préoccupés par la loi de sécurité nationale proposée au titre de l’article 23 à Hong Kong, qui menace les droits et libertés fondamentaux des Hongkongais et compromet gravement le cadre “un pays, deux systèmes” garanti par la déclaration commune sino-britannique.

« Cette législation proposée criminaliserait encore davantage la liberté d’expression, le débat et les manifestations pacifiques à Hong Kong. Elle renforcerait également les pouvoirs de la police en matière de détention avant inculpation et supprimerait les étapes procédurales dans les procès pour atteinte à la sécurité nationale, ce qui affaiblirait encore l’État de droit à Hong Kong.

« Les récents actes de répression de la part du gouvernement de Hong Kong montrent clairement que les autorités de Hong Kong abuseront des nouvelles infractions proposées pour réprimer la dissidence légitime et les droits civils. En vertu de la loi sur la sécurité nationale imposée par la RPC, plus de 280 personnes — y compris des militants pro-démocratie — ont été arrêtées de manière inappropriée sous prétexte de mettre en danger la sécurité nationale.

« Ce n’est pas la première fois que le gouvernement de Hong Kong tente de faire passer une loi de sécurité nationale. En 2003, des manifestations et une vive opposition avaient contraint le gouvernement à abandonner une législation similaire. Malheureusement, les récents changements imposés par la RPC au système électoral de Hong Kong, qui donnent à Pékin le contrôle, signifient que la législation devrait être facilement adopté.

« Dans une déclaration commune avec 85 autres groupes de la société civile, des organisations telles que Hong Kong Watch ont fait part de leurs inquiétudes quant à la législation et à la poursuite de l’érosion de la démocratie et des droits civiques à Hong Kong. 

« Nous sommes solidaires des habitants de Hong Kong et nous nous opposons à la répression croissante de leurs droits civils. Nous demandons au gouvernement de Hong Kong de respecter la déclaration commune sino-britannique, un traité international qui garantit les droits et les libertés de Hong Kong jusqu’en 2047.

« Les conservateurs de gros bon sens demandent au gouvernement Trudeau d’exprimer publiquement ses inquiétudes quant à la loi de sécurité nationale et de défendre les droits civils de Hong Kong, tels qu’ils sont garantis dans la déclaration commune sino-britannique. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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