Déclaration du chef conservateur Pierre Poilievre à l’occasion du Jour du Commonwealth

Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a fait la déclaration suivante à l’occasion du Jour du Commonwealth :  

« Avec la signature du Statut de Westminster en 1931, le Canada est devenu officiellement un membre fondateur du Commonwealth des Nations – une institution caractérisée par des liens profonds de patrimoine, de culture et de liberté.   

« En devenant membre du Commonwealth, le Canada a conservé une partie essentielle de son histoire, honorant les nombreuses bénédictions que nous avons reçues de notre passé tout en traçant notre propre voie. Cela nous a permis de collaborer librement avec d’autres nations et d’explorer des partenariats avec des pays qui partagent nos coutumes, nos traditions et nos allégeances.    

« Le Commonwealth a également fourni au Canada une plate-forme précieuse pour défendre la justice et l’égalité. En 1961, le premier ministre Diefenbaker a utilisé le Commonwealth pour dénoncer l’apartheid en Afrique du Sud. Cette politique s’est intensifiée dans les années 1980 avec de fortes sanctions économiques mises en œuvre par le premier ministre Mulroney, qui a travaillé avec d’autres chefs du Commonwealth pour faire pression sur l’Afrique du Sud dans le but de mettre fin à l’apartheid une fois pour toutes. De même, en 2013, le premier ministre Harper a appelé le Commonwealth à tenir le gouvernement sri-lankais pour responsable du génocide en cours des Tamouls.   

« Aujourd’hui, aux quatre coins du monde, les nations membres célèbrent le Jour du Commonwealth. Ensemble, alors que nous réfléchissons individuellement à notre histoire, nous honorons les puissants liens d’héritage et d’amitié qui continuent à nous unir dans cette fraternité de liberté véritablement unique. »

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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