Les faits : Justin Trudeau persiste dans sa politique ratée en matière de logement

Ottawa (Ontario) – Après huit ans sous Justin Trudeau, les Canadiens vivent un véritable enfer en matière de logement. Le coût du loyer et de la mise de fonds a doublé. Avant Trudeau, il fallait 25 ans pour rembourser un prêt hypothécaire ; aujourd’hui, il faut 25 ans simplement pour économiser en vue d’une mise de fonds.

Juste avant que Trudeau n’organise une nouvelle séance de photos sur le logement, RBC a publié son rapport sur l’accessibilité à la propriété, qui montre qu’un ménage gagnant un revenu médian avant impôt doit dépenser 63,5 % de ce revenu pour couvrir les coûts de possession d’une maison typique au prix courant. Ce chiffre est en hausse par rapport aux 61,8 % du troisième trimestre. En 2015, la même mesure était de 39,3 %.

À Halifax, où Trudeau a fait cette annonce, RBC a déclaré que les coûts de propriété avaient atteint un « niveau record », passant à 45,3 % du revenu médian des ménages avant impôt nécessaire pour couvrir les coûts de propriété, ce qui dépasse de loin la moyenne à long terme de 31,9 %. Il n’est donc pas étonnant qu’il y ait aujourd’hui 30 campements de sans-abri dans la région d’Halifax.

Malgré les nombreuses annonces de Trudeau, Rentals.ca indique que le loyer moyen d’un appartement d’une chambre à coucher à Halifax a augmenté de 10,1 % par rapport à l’année dernière, et que le loyer moyen d’un appartement de deux chambres à coucher s’élève maintenant à 2 336 dollars. Pendant ce temps, le prix composite d’une maison dans la région de Halifax-Dartmouth a atteint 524 500 dollars, soit une augmentation de 103 % depuis l’élection de Trudeau en 2015. Personne ne peut se permettre cela.

L’annonce d’aujourd’hui montre que les libéraux n’ont aucune solution à la crise qu’ils ont créée. Sous Trudeau, le Canada construit moins de maisons que dans les années 1970, lorsque le pays comptait la moitié de la population. Pourtant, les libéraux persistent dans leurs politiques ratées en créant un fonds de 4 milliards de dollars pour des séances de photos. Mais les Canadiens ne peuvent pas vivre avec des séances de photos.

Seuls les conservateurs de gros bon sens ont un plan pour bâtir des logements, pas de la bureaucratie, en exigeant des bureaucraties locales qu’elles autorisent 15 % de plus de constructions de logements chaque année, sous peine d’amende. Celles qui dépasseront l’objectif recevront une prime. Il s’agit d’un plan de gros bon sens qui fournit de l’argent pour des résultats, et non pour des annonces supplémentaires.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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