Les faits : La crise du logement va s’aggraver sous Trudeau

Ottawa (Ontario) – Après huit ans sous Justin Trudeau, le coût du logement a doublé. Les loyers ont augmenté de 107 % et il faut maintenant 25 ans aux Canadiens pour économiser en vue d’une mise de fonds.

Aujourd’hui, RBC a confirmé que la crise du logement au Canada ne fera qu’empirer sous Justin Trudeau. Elle a indiqué que le Canada doit construire 320 000 logements par an pour éviter l’augmentation des coûts de l’immobilier. Il s’agit d’une augmentation de 50 % par rapport aux taux actuels d’achèvement des logements, mais sous Trudeau, le Canada continue de construire moins de logements pour les Canadiens.

En 2023, le Canada n’aura mis en chantier que 240 000 logements, contre environ 271 000 en 2021. En outre, la SCHL prévoit qu’en 2025-2026, les mises en chantier seront encore inférieures à celles de 2020-2021. Dans le même rapport, la SCHL prédit que « les loyers augmenteront et les taux d’inoccupation diminueront », car davantage de personnes se font concurrence pour moins de logements.

Conséquence de l’incapacité de Trudeau à construire suffisamment de logements, le nombre de Canadiens qui peuvent se permettre d’acheter une maison s’est considérablement réduit, RBC estimant que seuls 26 % de tous les ménages peuvent s’offrir une maison unifamiliale aux prix actuels. Ce chiffre est en baisse par rapport aux 49 % d’il y a vingt ans.

Parallèlement, le taux d’inoccupation des appartements locatifs a chuté à 1,5 %. Par conséquent, les locataires canadiens ont payé 100 dollars de plus en moyenne par mois l’année dernière. Personne ne peut se permettre cela.

Il n’est donc pas étonnant que la directrice générale de la SCHL ait averti les Canadiens que le gouvernement Trudeau n’avait aucun plan pour résoudre la crise du logement. Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût.

Les conservateurs de gros bon sens bâtiront des logements, pas de la bureaucratie, en liant l’argent fédéral destiné aux infrastructures à l’achèvement des logements. Seul Pierre Poilievre apportera des logements abordables aux Canadiens.

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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