Les libéraux tentent de mettre fin à l’enquête sur la fuite criminelle relative à la sécurité nationale

Ottawa (Ontario) – Michael Cooper, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Réforme démocratique, a fait la déclaration suivante sur les libéraux qui ont tenté de mettre fin à une enquête sur la grave fuite relative à la sécurité nationale qui se serait produite à la suite de la course à l’investiture libérale dans Don Valley-Nord :

« Après huit ans sous Justin Trudeau, les institutions démocratiques du Canada n’ont jamais été aussi vulnérables. Cela est devenu encore plus évident lorsque nous avons appris, grâce à un récent rapport du Globe and Mail, qu’il y a eu une fuite criminelle de la part de ce gouvernement libéral, qui a conduit un membre libéral à informer le candidat libéral précédent, Han Dong, qu’il était surveillé par le SCRS.

« En conséquence de cette fuite et du renseignement qui s’en est suivi, le travail effectué par nos agences de sécurité nationale pour protéger la démocratie canadienne a été clairement compromis. Cette information n’a pu être obtenue que lors d’une réunion classifiée de la sécurité nationale, ce qui signifie que seul un petit nombre de personnes au sein du gouvernement libéral a eu accès à des informations classifiées du SCRS.

« Malgré la gravité de cet enjeu, les libéraux ont voté en faveur de l’arrêt de cette enquête, tout comme ils avaient précédemment tenté de dissimuler l’ampleur de l’ingérence dans la démocratie canadienne pendant des mois, jusqu’à ce que les conservateurs du gros bon sens obligent le premier ministre à ouvrir une enquête.

« Les conservateurs de gros bon sens se battront pour faire toute la lumière sur ces fuites criminelles au Comité de la procédure et des affaires de la Chambre, après qu’une majorité des membres du Comité de l’éthique aient voté pour y renvoyer cette affaire. Trudeau doit mettre fin à sa dissimulation et commencer à faire passer la sécurité nationale du Canada avant ses intérêts partisans ».

La coalition Libéral-NPD bloque l’enquête sur les accusations portées par la GRC contre les consultants de Justin Trudeau

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Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Le chômage augmente tandis que la taxe carbone inflationniste de Trudeau oblige les familles à payer 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023. Des millions de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre. Mais la vie des initiés libéraux bien connectés et des escrocs n’a jamais été aussi bonne.

Il y a deux semaines, la GRC a révélé qu’elle avait inculpé un escroc qui avait reçu 250 000 dollars grâce au système de contrats défaillant de Trudeau. La coalition Libéral-NPD a bloqué les questions posées aux fonctionnaires responsables des contrats gouvernementaux sur le nombre de cas transmis à la GRC. La GRC a précédemment déclaré qu’elle menait de « multiples » enquêtes sur les contrats fédéraux, en plus de son enquête active sur l’application ArriveCan, d’une valeur de 60 millions de dollars, qui était censée coûter 80 000 dollars aux contribuables.

Des détails récemment découverts sur les contrats montrent également que le gouvernement Trudeau a donné près de 400 000 dollars de fonds public à une entreprise de conseil numérique dont le PDG est un activiste du Parti libéral. En outre, l’un de leurs consultants s’est présenté comme candidat du Parti libéral en 2021. Les conservateurs se battent pour dénoncer les initiés libéraux et les anciens candidats qui sont payés, tandis que Trudeau a envoyé ses députés pour couvrir son abus de l’argent des contribuables.

Ce n’est pas la première fois que l’argent des contribuables canadiens est gaspillé pour des contrats potentiellement criminels. La GRC enquête déjà sur GC Strategies pour la débâcle d’ArriveCan après que Trudeau a payé 60 millions de dollars à deux initiés d’Ottawa qui n’ont fait aucun travail sur une application qui aurait pu être créée pour quelques milliers de dollars au cours d’un week-end.

L’année dernière, Trudeau a versé 21 millions de dollars à des contractants externes, dont beaucoup n’effectuent aucun travail. Les Canadiens méritent de savoir combien de leur argent a été donnée à des criminels et à des amis du Parti libéral. Les conservateurs de gros bon sens ne s’arrêteront pas tant que toute l’étendue de ces dépenses inutiles sera révélée.

Justin Trudeau n’en vaut pas le coût ni la corruption. Seuls les conservateurs mettront fin à la corruption et ramèneront le gros bon sens à Ottawa.

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Les premiers ministres des provinces et des territoires disent à Justin Trudeau que ses politiques d’arrestation et de remise en liberté mettent en péril la sécurité des Canadiens

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Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les Canadiens n’ont jamais été aussi peu en sécurité. Les dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté de Justin Trudeau ont fait grimper en flèche les crimes violents de 39 %, tandis que 256 personnes ont été assassinées en 2022 par un délinquant qui était en liberté.

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